Sanctions contre des politiques d’Haïti : Mise en scène d’un poker menteur !

Alors que la communauté internationale prétend supporter Haïti dans un ultime coup de main salvatrice pour la déterrer du contexte caverneux qu’elle a à dessein mijoté de toute pièce, elle s’appuie sur un « idiot utile » arbitrairement installé à la tête de la Primature pour valider ses « goals à main » contre Haïti. Sanctionner Michaël Martelly sans se désolidariser d’Ariel Henry revêt d’une hypocrisie de trop. Le bluff de la communauté internationale aurait atteint son paroxysme dans cette dernière carte de tergiversation « jofrée » pour tester les pulsions vitales de la population en « sainte colère ». Facile de percevoir la ruse d’un bourreau qui cherche à éveiller les émotions viscérales d’une victime non consentante en lui inoculant une pilule douce comme une hostie à assouvir les soifs charnelles. Ces hypocrites espèrent, par la vertu du syndrome de Stockholm, que le refus radical de la population victime de choléra, de viol et de pédophilie des salles bottes étrangères se transformera en une ovation populaire. Ces conseillers spéciaux de l’ONU sont conscients du risque d’un échec imminent de leur intervention militaire en dehors de l’acceptabilité sociale. Ils tentent alors de manipuler les esprits en des stratagèmes afin de fouler encore le sol national sous la prétexte mission de « dégangstériser » les gangs fédérés détraqués qui sont encensés par sa majesté, Hélène Lalime.

Dans une claire obscurité, le but de ce duplex sanction et confiscation à brûle-pourpoint consiste à huiler la machine de l’invasion par les bottes cyniques qui ont déjà saboté Haïti à maintes reprises. Cette partie de canular de ces avares des ressources minières des sociétés du Sud vise aussi à esquiver le débat citoyen sur des élections truquées à l’avance dont Ariel détient l’ignoble tâche de planifier dans l’ombre. Si ses démarches de sanctions contre des « bandi legal » étaient empreintes de sincérité, même sur une partie considérable de la ligne zigzaguée, la communauté internationale cesserait de se solidariser de tout membre du cartel criminel PHTK. Puisque le mariage Core-Group et PHTK est encore en vie, le divorce de la société de l’insécurité et de la gangstérisation ne peut être encore effectif.

Le déclic vers la trajectoire du développement d’Haïti requiert un carton rouge d’expulsion radicale à ces figures politiques sans figure qui fissurent tous les pylônes de l’édifice social. Le ver est dans le fruit. Plus le temps passe sous cet empire de kakistocratie, plus l’économie est dévastée, plus les vies se gaspillent. Le PHTK se révèle une boîte de pandore de laquelle Haïti doit se débarrasser. Dans ce contexte de méfiance généralisée, c’est l’unique alternative vers le rétablissement de l’autorité de l’État pour que la vie normale reprenne dans la cité. Extraire une branche pourrie de ces mauvaises herbes est certainement un bon signal. Mais, cela ne suffit pas. Il faut en arracher la racine. En voici le signal déclencheur.

 

Martelly maigrit et Henry grossit. Absurdité !

Tandis que les animaux politiques détraqués perdent du poil en voyant leur manège criminel exposé au grand jour, Ariel - un élément du même univers des dragons et des caméléons politiques - aurait pris du poil de la bête. Par la main gauche, le PM inculpé, protégé de sainte Lalime, a été contraint de limoger certains de ses proches collaborateurs malsains soupçonnés de crimes odieux. Par la main droite, le cynique neurochirurgien a reçu du dieu de la tergiversation et de l’immixtion électorale la maudite bénédiction d’installer d’autres mercenaires à la tête des institutions régaliennes. Un véritable paradoxe !

L’accueil de Michel Martelly sur « tapis rouge » sous la protection d’une batterie d’agents spécialisés de la PNH - après l’annonce de sa sanction qui a instigué son auto-déportation « intelligente » des États-Unis - a prouvé que Michaël demeure le patron d’Ariel. Frères siamois, ils sont familles et alliés, pourtant le « manyen youn manyen tout » ne s’applique pas dans les sanctions. C’est à l’encontre de la logique que l’on choisirait de diminuer le parrain pendant que l’on veut parallèlement augmenter le filleul. Le bluff est criant.

De toute évidence, l’esprit de ces ravisseurs occidentaux qui étranglent Haïti depuis des lustres est tourmenté dans une paranoïa de factice suprématie hypothéquée par des concurrents valables, particulièrement la Chine et la Russie qui caresseraient des projets porteurs avec Haïti. Par ce pion qu’ils déplacent contre leurs propres morpions et espions d’antan, le Canada et les USA patinent dans une incohérence patente qui s’apparente à la démence de la raison.

Probablement, le cas du sans aveu Lambert - esclave politique de l’Occident depuis 25 ans, qu’il a avoué dans un auto-désaveu - pourrait être vécu comme un dommage collatéral. En cherchant à faire bonne figure pour sauver son image, l’Occident s’en prend à ses propres serviteurs les plus serviles. Ils ont donc mordu à leur propre hameçon. Mais aussi nous devons nous rappeler que ces méchants n’ont pas d’état d’âme. Ils utilisent les mercenaires politiques locaux comme du papier hygiénique. De toute façon, un os de poisson intoxiqué est croqué en travers à leur gorge comme un piège qui fait déparler cet occident condescendant. Haïti doit donc en profiter.

À ce stade de faiblesse sinon de schizophrénie qui hante ces faux-amis d’Haïti, le sens de l’engagement citoyen et l’esprit de discernement sont interpellés à révéler les véritables motifs des protagonistes en vue de permettre à la collectivité de tirer son épingle de ce jeu brouillé.

 

La dialectique, l’arme qui fait bouger les lignes

Cette sortie crabe de Trudeau, Carrière et Jolie, certainement commanditée par le manitou du trident de l’Occident, n’est pas le fruit du hasard. Les plaintes et les complaintes des citoyens haïtiens indignés des conditions infrahumaines concoctées par la mafia politique extérieure ont frappé les tympans de tous ceux qui ont des oreilles. Lorsque des esprits éclairés savent se référer sciemment aux conventions internationales pour étayer leurs thèses, ces caméléons des coopérations multilatérales sont contraints de changer de couleur. Haïti savoure une belle victoire de l’engagement et du sens de discernement.

Compliments au docteur Fils-Aimé, à Morvan et à cette masse critique d’influenceurs des réseaux sociaux pour leur solide contribution citoyenne manifestée dans des investigations et des analyses approfondies qui décortiquent les actions visibles et invisibles pour démasquer les stratagèmes de ces Léviathans de l’Occident perfide qui collaborent toujours avec les ivraies pendant qu’ils écartent les graines fertiles de la politique interne d’Haïti.

Si les lignes de la géopolitique ont pu bouger dans la direction de tirer le drap à l’avantage d’Haïti, c’est particulièrement grâce aux inputs de ces courageux directeurs d’opinions qui dénoncent les barbaries des contrebandiers politiques locaux et internationaux. Il y a bien des situations où le bon sens doit percer que le silence n'est pas d’or. Justement, un timing pareil requiert des réflexions, dénonciations, analyses, débats et des cris stridents à tous les niveaux tout en évitant des polémiques stériles et des diffamations gratuites.

Ce ne serait jamais par le canal de cette presse traditionnelle vendue aux dealers et aux corrompus que les vérités des dilapidations et des crimes allaient voir le jour. Si l’outil technologique n’est pas toujours bien utilisé par les jeunes pour profiter des opportunités d’affaires offertes par le cloud, sur le plan des débats sociopolitiques, Haïti a bénéficié d’énormes externalités positives de la libéralisation digitale.  La dialectique voudrait émettre le vœu que les vrais activistes qui visent le progrès d’Haïti restent objectifs et qu’ils continuent de faire œuvre qui vaille, au profit de la postérité.

Merci Facebook, merci YouTube de la large diffusion des astuces des trafiquants de la société haïtienne. En dehors de cette libéralisation de la parole, il y a tellement de têtes sadiques qui leurraient de revenir dans la bulle officielle pour continuer leurs négoces souterrains.  Aujourd’hui, comme des autruches frappées de psychose, leurs têtes sont entre leurs deux jambes, dans une honte intégrale. Périssent les dealers, les imposteurs et les dilapidateurs, Haïti ne doit pas périr.

 

L’obscur « Give and Take » et ses dommages collatéraux

Depuis ce tweet ingérant qui a chauffé les téléphones portables de plusieurs millions d’Haïtiens au lendemain de l’assassinat de Jovenel Moïse en juillet 2021, le « jobber » Ariel Henry pavane à la Primature au service d’une Hélène Lalime mise à nu dans sa mission malveillante à la tête du Binuh corrompu. Le discours avant-coureur du Premier ministre Canadien Justin Trudeau annonçant des châtiments sévères contre les leaders politiques Haïtiens qui sont plutôt des dealers signifierait d’une part, que pour le besoin d’une certaine cause éludée, Lalime a évincé Martelly du jeu.

D’autre part, on y perçoit une mystification qui amuse la galerie puisque la représentante du Binuh revigore Ariel Henry de manœuvres cruelles afin de maintenir leur pouvoir de perturbation dans une coopération asymétrique jusqu’à un certain point mort au détriment d’Haïti. Tant que les capitaines subalternes du clan mafieux PHTK continuent de maintenir leurs fesses sur les fauteuils stratégiques de la république, le bon sens demeurera atterré de constater que c’est le paralogisme qui domine la présente relation diplomatique internationale envers Haïti.

Martelly serait soudain passé d’un as d’atout à une carte de rejet entre les mains des faux-amis d’Haïti qui jettent leur dévolu sur leur servile serviteur, Ariel Henry, pour sauver leur mise de faire mainmise sur cette nation riche en ressources naturelles rares. Dans un obscur « Give and Take » sous un tapis rose et blanc entre le Core-Group et le PHTK, les enchères des flibustiers modernes seraient surenchéries en contrepartie de sauver la peau de ceux indexés dans une pléiade de corruptions et dans le magnicide du siècle.

Parrain vilain, dauphin mesquin, associés d’hier devenus adversaires d’aujourd’hui ; aucune pièce d’un puzzle conspirationniste qui vise à décapiter une présidence de la région ne pourrait échapper au maître du jeu pervers. Il n’y a pas moyen qu’un président soit assassiné sans que le trident de l’Occident - de son lieu de patron de l’Hémisphère - ne soit au moins au courant des tenants et aboutissants de cette mission macabre.

À l’instar d’une classique production hollywoodienne, les scripts de la chorégraphie à publier sont mémorisés par les acteurs et les bandits avant même que l’audience s’en raffole du produit fini. En de multiples répétitions - pas toujours bien maitrisées par des amateurs du septième art - les interviews suivies de missions pendant et après l’évènement sont arrangées par les masterminds du crime.

Alors, au grand dam de la dialectique, il faudrait que les yeux de lynx cessent de critiquer cette première dame démagogue - actionnaire du délit Dermalog - qui parle et qui déparle dans les médias dans une incohérence patente. Deux balles, trois balles…, sept balles aux fesses ; Titine badine avec son jeu de rôle. Ariel de son côté a adopté un silence suspicieux alors qu’il devait donner des explications aux accusations des médias internationaux qui le pointent du doigt dans sa complicité à l’assassinat du président.

Ce qu’il faut retenir c’est qu’il y a de piètres acteurs et des actrices complices de délits et de conflits qui sont inaptes à tenir le rôle qui leur est attribué. Ainsi, par leur médiocrité, ils risquent d’exhiber les « fentes jambes » des scénaristes ravisseurs qui les cachent sous leur jupon receleur. Que dire de cet hôpital de la Floride qui a prodigué des soins à Martine Moïse ? « Tou manti pa fon ».

Si Martine se révèle une actrice maladroite qui se contredit constamment dans la narrative post-assassinat préconçue au laboratoire de la manipulation internationale, Joseph se révèlerait un meilleur player. Plausiblement, l’immersion de ce dernier dans l’arène occidentale en a fait la différence. Toutefois, des argumentaires même superficiels suffisent pour défier les mensonges de ce « chanceux chancelier » que d’aucuns percevaient comme un Joseph désigné à expliquer les songes de l’ancien pharaon Apredye écarté du jeu par des « oligarques corrompus » qui endossent les sept péchés capitaux de la grande conspiration.

 

Sanctions et confiscations : Blanc bonnet et « bonheur » blanc 

Jadis, la prétentieuse doctrine de Monroe qui voudrait que « l’Amérique soit aux Américains » était nourrie en des coups bas et des coups traîtres affaissés par des idiots internes commandés par des « intelligents » externes qui infantilisent les institutions nationales. Lorsqu’ils développent leurs stratégies nationalistes, les barons occidentaux sont les seuls à s’en approprier. Sauf de rares dissidences comme celles de Daniel Foote ou de Ricardo Seteinfus qui ont vendu la mèche de l’ingérence étrangère et de la collusion avec des régimes criminels, sinon ces artisans du chaos mettent tout en œuvre pour qu’aucune étape de leur projet destructeur ne soit fuitée par un potentiel intrus en leur sein ou dans le camp de la victime consentante.

À leurs rencontres secrètes planifiées au sein de leurs extensions géographiques (les exposantes ambassades), ces plénipotentiaires - gardiens de la pénitence du pays soi-disant ami- se gardent d’y inviter les Haïtiens aux colonnes vertébrales idoines. Ceux qui seraient dans le secret des diables ne le sont que pour servir de marchepieds afin qu’en toute indignité ils élèvent leurs patrons étrangers en dignité.

Cela fait des lustres qu’il y a un mariage enraciné entre cons et démons pour enfanter des monstres au détriment de cette nation modèle que les forces diaboliques empêchent d’entrer dans la modernité.  C’est par la rancune et par la traîtrise internationale qu’une pléiade d’œuvres conspirationnistes et de multiples crimes de lèse-patrie sont perpétrés avec facilité à la touristique cité aujourd’hui délabrée. La carte de la trahison au tréfonds de l’intimité se révèle toujours une pièce maîtresse pour mieux constituer le puzzle de la paupérisation des sociétés emblématiques. Quand ces malveillants veulent arracher leur victoire arbitraire, ils peuvent même solliciter l’expertise stupide d’un de leurs anciens prisonniers. Et voilà, ils avaient sciemment croqué Martelly à la gorge de la Première république noire.

Un pays ne peut jamais être vendu sans l’aval de dirigeants croupion internes. À l’heure qu’il est, personne ne saurait dire à quelle étape Ariel aurait pris la relève de la mission ignoble que Michel et Jovenel ont accomplie à mi-chemin. Une suite de terminaisons pestilentielles, ces terminateurs portent bien leurs noms. Les Blancs traîtres adorent traiter avec ces êtres petits– dépourvus de vision et du sens du service public – afin d’approuver et de parapher les contrats d’exploitations des mines sans objection aucune. Le malheur d’Haïti fait leur bonheur.

 

Véritable objectif des sanctions : La zombification de la population

Seuls des esprits ingénus auraient aveuglément cru aux sanctions de ces génies du mal qui ne posent des pions que lorsque cela sert leur intérêt géopolitique égocentrique. Sentence mafieuse du capitaine ou soutien sournois au filleul n’est que « blanc bonnet et bonnet blanc ». Observons tout de même que ce scénario impromptu ne se déroule pas sans dommages collatéraux. Les petits joueurs vils ou les players rebutants comme Bourdeau, Céant, Lambert, Youri, Célestin et Foucand en seraient des exemples. Puisqu’ils étaient juste dans l’œil du cyclone, alors ils étaient détruits au passage de cet ouragan d’une conspiration plutôt moderne. La vraie cible de la communauté internationale hypocrite étant la population haïtienne qu’il faudrait amadouer sinon zombifier per fas et nefas.   

Tandis que les pays partenaires avec lesquels l’Occident coopère dans un factice respect mutuel ne peuvent entreprendre des initiatives souveraines sans qu’il n’y ait un « Blanc » à les superviser, pourtant chaque petit leader « comique » aurait son patron blanc dans son dos. Par ces temps d’une blancomanie puante qui courent les boîtes, les ministères regorgent de « petits blancs » consultants du FMI, de la BID, de l’USAID, de l’UE ou de la Banque mondiale souvent sans compétence mais qui pourtant dictent aux ordonnateurs locaux les lois des multinationales. Ce serait par une consultation criminelle du FMI que les sous de la population vulnérable se dessèchent de sa poche pour payer des frais de transport. Que vaudrait enfin une embellie macroéconomique quand une population ne peut même manger à sa faim ?

D’autre part, de nombreuses bases de données souveraines - comme celle de l’ONI - sont logées à l’étranger. La boîte noire du pilotage de l’État haïtien serait protégée à l’Hexagone ou au Pentagone. Aujourd’hui, comme des drones invisibles, les dispositifs de la communication s’infiltrent dans les chambres et les antichambres pour révéler les plans de jeu de tous les acteurs locaux. Au risque d’être limogés, ils sont alors contraints de révéler tous leurs coups. Le jeu est vicié. Loin de l’Haïtien indigné l’idée de promouvoir la xénophobie qui ne nous définit pas d’ailleurs. Mais, une nation souveraine ne peut guère accepter que des yeux vairons continuent de fourrer leurs nez allongés belle longueur dans ses secrets. Il y a urgence de sortir de cette zombification.

Ces faux samaritains au secours des nations appauvries en rient à nous faire pleurer en des immixtions électoralistes génératrices de crises multiformes qu’ils leurrent de réitérer comme en 2011. Dans le sens des aiguilles d’une montre, l’agenda de l’Internationale tourne dans l’optique de faire revivre le même gâchis des élections post-sismiques qui a accouché la bêtise paroxysmique au cœur des institutions régaliennes. S’il devait en être ainsi, que la fierté d’être Haïtiens dignes de Toussaint et de Dessalines boive la cigüe. Quelle serait alors la valeur de l’élite interne et externe ?

Ce règne de médiocratie décennale a regrettablement vu le 400% bulshit quitter les boîtes de nuit pour s’infiltrer avec arrogance dans les boîtes publiques badigeonnées de médiocrité et de criminalité. Devrait-on y percevoir une surprise ou l’accomplissement d’un vœu cynique de cette communauté internationale omnisciente, omnipotente et omniprésente en Haïti ? Le scepticisme n’a plus de place ici. C’était clairement avec le support conditionnel du mauvais Blanc qui veut tout rafler en Haïti que la bêtise personnifiée avait trôné à la première magistrature du pays.

Circonstance atténuante comme dans un « avocat du diable », en admettant que cette communauté internationale déchue a été surprise de constater la catastrophe de cette équipe crapuleuse, elle ne vaudrait non plus sa place de prendre part aux initiatives requérant un leadership au sein de l’Hémisphère. L’autre scénario - d’ailleurs évident lorsque l’on se réfère aux témoignages de Seteinfus et du président croupion Opont à la tête du CEP - expose une ignoble collusion de la communauté internationale dans la catastrophe.

Le chaos prémédité révèlerait le niveau de méchanceté d’un Occident aux dents pourries qui sans le dire s’attèle à néantiser la Première république noire indépendante de la planète. Quand des représentants d’un Core-Group répugnant ne condamnent pas les oppressions des terroristes à col blanc sur la population alors qu’ils font l’apologie de la fédération des gangs, la déduction est plutôt claire. Haïti est prise dans un complot odieux d’un ensemble de pirates de la géopolitique hypocrite entêtés à la détruire soit pour plaire à leur caprice revanchard ou pour exploiter les ressources minières.

La sélection de Martelly en 2011 a été le projet machiavélique de l’Occident malveillant qui mise sur des êtres diminués, sans le sens de la gouvernance, afin d’affaisser ses mauvais coups dans la facilité. Le cynique Ariel Henry en détient la mission similaire. Celle-ci passe au prime abord par l’organisation d’élections/sélections bidon pour continuer de foutre Haïti dans la merde. Les institutions de vigie devraient développer des stratégies pour éviter ce projet macabre qui mettra Haïti à six pieds sous terre.

Il ressort que griller Martelly, Lamothe et Co en des sanctions sévères est une carte de diversion pour plaire aux yeux naïfs. Les yeux de lynx y perçoivent un coup monté pour sortir un uppercut audacieux afin de mettre Haïti K.O. Puisse la conscience citoyenne se manifester sur la toile, sur le macadam, au micro et à travers le stylo, en vue de défier cette mission maléfique. Haïti doit forcer le Core-Group et le PHTK à se déguerpir afin qu’elle puisse renaître de ses cendres.

 

Carly Dollin

carlydollin@gmail.com

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